"À Chauny, le bel éclat de la Compagnie du Bicarbonate" - Courrier Picard - 09/04/2018
Retrouvez l'article sur la Compagnie du Bicarbonate en version numérique sur le site du Courrier Picard.
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EMPLOI
La SAS Compagnie du bicarbonate commercialise des produits de nettoyage bio, mais se distingue aussi avec des emplois basés sur l’alternance.
Par Pierre HALLADE | Publié le 17/01/2018
tLa SAS Compagnie du bicarbonate que dirige Nicolas Palangié, le fondateur, mise sur la jeunesse. Son entreprise se développe grâce au travail en alternance. « Lorsque les jeunes sortent de l’école et des études, o n leur demande de l’expérience lorsqu’ils passent un entretien d’embauche. Dès lors, il est compliqué d’être recruté », déplore-t-il.
En partant de ce principe, l’entreprise chaunoise a changé son fusil d’épaule voici quatre ans en se lançant dans les contrats d’apprentissage et de professionnalisation. Pour cela, des liens ont été noués avec le lycée Gay-Lussac de Chauny et l’INSSET de Saint-Quentin.
« Aujourd’hui, nous avons d’excellents contacts avec les professeurs, précise-t-il. Il y a des échanges réguliers avec eux, par mail ou téléphone, voire via la plateforme connectée mise en place par l’INSSET pour la sauvegarde et la validation de documents, rapports lors des visites des enseignants, travaux et même bulletin de note. »
Cet engagement dans le travail en alternance, a valu à la Compagnie du Bicarbonate d’être lauréate du concours 2017 des « Pépites de l’alternance », ouvert aux entreprises basées dans la région des Hauts-de-France.
Ainsi, Océane Dosigian, Geoffrey Lopez et Dimitri Royer vivent cette expérience et soulignent à l’unanimité que « l’alternance est aujourd’hui unanimement reconnue. »
Le mieux placé pour l’évoquer n’est autre que Dimitri qui, dans le cadre de son BTS management des unités commerciales (MUC), vient de signer son CDI. Pour Océane et Geoffrey (développeurs Web), encore en alternance, ils découvrent le monde du travail, « essentiel pour la suite de nos carrières professionnelles. »
Aujourd’hui, il ne fait plus l’ombre d’un doute que l’apprentissage est une bonne solution, si le contexte reste favorable. « Pour ces jeunes, ce mode de formation est une voie d’excellence, termine Nicolas Palangié. C’est du gagnant-gagnant pour tout le monde. D’autres étudiants, passés ici, ont bien évolué dans le monde du travail. »
Contact : 03.23.38.84.07 – 25 bis, Bd de Bad-Kostritz – mail :contact@compagnie-bicarbonate.com
Consultez l'article paru en version papier, ou via ce lien sur le site internet du Journal.Santé Magazine a consulté Nicolas Palangié, le fondateur de la Compagnie du Bicarbonate et auteur de "Bicarbonate: un concentré d'astuces" (Eyrolles - 2014) pour rédiger son mini-guide sur le bicarbonate.
Page de Couverture :
Picardie Information parle de la Compagnie du Bicarbonate dans la 16ème édition Mai - Juillet 2016 !
Retrouvez l'article en cliquant sur l'image ci-dessous :
Biocontact ont rédigé un petit article sur notre scrubb, le savon "grattant" !
Voici l'article en question ci-dessous (cliquez dessus pour l'afficher en grand format)
Découvrez l'article de "Picardie la Gazette" consacré à la croissance de la Compagnie du Bicarbonate.
Non, personne n’a résolu la quadrature du nettoyage. Il s’agit juste d’une bonne idée : réunir deux régions, et surtout, deux savoir-faire. L’un dans le bicarbonate, puissant détachant et dégraissant ; l’autre dans le savon de Marseille, réputé bénéfique pour la peau. La compagnie du Bicarbonate en Picardie s’est donc associée à la Savonnerie du Sérail en Provence, pour développer "le Scrubb", un nouveau savon grattant, dégraissant qui protège la peau.
Il est destiné aux bricoleurs et aux garagistes et évidemment, fabriqué dans la pure tradition des savons à Marseille (Bouches-du-Rhône). D’après les mécaniciens qui l’ont testé, il nettoie aussi bien que des produits spécialisés. Mais ils apprécient surtout son côté doux, sain, totalement naturel… tout le contraire des pâtes chimiques traditionnelles.
Quand on se lave les mains avec ce savon, des petits grains de bicarbonate se détachent et vont gratter la peau pour mieux la débarrasser des saletés. C’est avec ces grains que le fabricant veut maintenant séduire les femmes, en se positionnant comme un gommage à base de produits naturels. Ce genre de collaboration offre de nouveaux débouchés aux savonneries traditionnelles. Les quatre ou cinq restantes souffrent terriblement face à tous ces savons dits "de Marseille", mais qui ne sont pas fabriqués dans les règles de l’art.
Cibler le gommage ou les garagistes leur permet de se diversifier, d’être plus présents dans la grande distribution. Et, en bout de chaîne, de nous donner accès à des produits innovants et de qualité. Même si j’imagine mal ma femme se faire un gommage avec mon savon plein de cambouis.